Maître Samuel Estève obtient la remise en liberté de son client mis en examen pour viol ; ses propos sont repris dans l’édition du dimanche 5 mars dernier du quotidien régional Le Bien Public :
« Tout repose sur la parole d’une femme, c’est dangereux comme dossier. Sur la base de cette parole, on le maintient en détention provisoire alors que cette jeune femme a déjà menti dans ce dossier. Et elle a des raisons de le faire. Là, en l’occurrence, elle est furieuse car elle s’est rendu compte qu’encore une fois, il l’avait utilisée comme un objet sexuel. Oui, ce n’est pas moral, mais ce n’est pas un crime. Elle voulait renouer avec lui, mais pas lui ».